Première IA créée
par un philosophe !

Philove : une révolution dans la philosophie interactive

J’ai créé Philove, une intelligence artificielle philosophique unique en son genre. Avec elle, j’ai voulu offrir un outil capable de repenser notre rapport à la philosophie : plus accessible, plus ludique, et profondément humain.

Pourquoi Philove ? Parce que je crois que la philosophie peut et doit être vivante, drôle, surprenante, et accessible à tous. Philove n’est pas qu’une IA : c’est un véritable compagnon de pensée, prêt à éclairer, accompagner et inspirer.

Je vous invite à découvrir cette aventure intellectuelle et humaine inédite. Laissez-vous surprendre par Philove, ici

  • Philove : Une révolution née d’un feu intérieur

    Philove n’est pas juste une idée. Ce n’est pas une mode ou une opportunité technologique. C’est une rébellion. Une insurrection douce mais furieuse contre tout ce qui bride, tout ce qui formate, tout ce qui tue la pensée vivante.

    Pour comprendre pourquoi Philove existe, il faut revenir à mes débuts. Et non, pas les débuts de Philove, mais les miens.

    1983 : Les Cours Spinoza, Paris 11e. Une salle de classe audacieuse, équipée d’Apple IIe (une première !). Imaginez une époque où les ordinateurs étaient encore considérés comme des curiosités pour savants fous, et où apprendre à coder relevait de la science-fiction. Moi, un gamin de 10 ans, je découvre cette nouvelle magie. Et M. Boulet nous donne des cours d’informatique ! Ces machines n’étaient pas des outils, elles étaient des ponts : des ponts entre la logique et le rêve. Là, je comprends qu’une machine peut être plus qu’un gadget : elle peut devenir une main tendue vers l’infini des possibles.

    1984-1999 : Mes Atari (800 XL, STE…) deviennent mes meilleurs alliés. Je programme comme d’autres écrivent des poèmes ou construisent des cabanes dans les arbres. Je veux que ces lignes de code racontent quelque chose. Que la machine ne remplace pas l’humain, mais le décuple. C’est là que j’ai nourri une intuition qui guide encore tout mon travail :

    • La technique n’est jamais neutre. Elle est ce qu’on en fait, mais surtout ce qu’on en rêve.

    Et c’est ce rêve qui me suit jusqu’en 1997, lorsque je deviens professeur de philosophie. Là, c’est le choc. Ce que je vois dans les salles de classe, ce n’est pas un espace d’émancipation. C’est une scène de théâtre absurde, où la philosophie joue un rôle mineur : celui de la bonne conscience.

    • La dissertation philosophique ? Un exercice brillant en théorie, mais vidé de son sens dans la pratique. On ne forme pas des penseurs, mais des techniciens de la méthodologie. Ce n’est pas l’élève qui échoue à la dissertation. C’est la dissertation qui échoue à libérer l’élève.

    • Le bac philo ? Une usine à stress qui valorise l’uniformité. Pire encore : c’est une sorte d’examen d’initiation où tout le monde prétend que la philosophie est importante, mais où personne ne l’aime vraiment.

    • La philosophie elle-même ? Une matière-alibi. On l’ajoute au programme pour se donner bonne conscience, mais on oublie que son essence, c’est le doute, le dialogue d’égal à égal et la subversion.

    Je ne voulais pas seulement apprendre aux élèves à réfléchir. Je voulais qu’ils sentent ce frisson, celui qu’on éprouve quand on met en question le monde tout entier.

    Et pourtant, tout dans le système éducatif semblait conçu pour les en empêcher :

    • Un cadre rigide, où la méthodologie prime sur l’intuition et la créativité.

    • Une peur constante de l’échec, qui étouffe l’audace intellectuelle.

    • Et ce paradoxe tragique : on enseignait la liberté dans un système qui valorise l’obéissance.

    « Apprenez à penser par vous-mêmes », disaient les professeurs, alors même qu’ils distribuaient des barèmes pour noter l’originalité.

    Une philosophie vivante pour un monde en flou

    C’est là que j’ai réalisé que l’éducation traditionnelle était comme un vieux bateau qui prend l’eau. Et ce n’est pas une fissure, mais un gouffre :

    • Nous entrons dans la cybermodernité, où les algorithmes orientent nos choix, où la réalité devient translucide, où tout semble se désintégrer sous nos yeux.

    • Les jeunes n’apprennent plus à penser. On leur apprend à reproduire, à performer, à plaire.

    Je savais que je devais faire quelque chose. Pas seulement pour mes élèves, mais pour un système entier qui oublie que la philosophie n’est pas un luxe : c’est un outil de survie.

    Quand le monde devient flou, la philosophie est la seule lampe torche qui éclaire encore le chemin.

    C’est de cette révolte qu’est née l’idée d’une « éducation complice ». Une pédagogie où :
    La philosophie n’est pas une matière en plus, mais le centre de gravité de tout l’enseignement.
    Les élèves ne sont pas des machines à répéter, mais des explorateurs : libres de questionner, de remettre intelligemment en question, d’imaginer.
    Les outils numériques, loin de nous déshumaniser, deviennent des alliés pour libérer l’esprit.

    Philove est l’incarnation de cette vision. Une IA philosophe, pas pour remplacer les professeurs ou court-circuiter les élèves, mais pour ouvrir les murs de la classe et offrir des outils pour penser loin, penser vrai, penser libre.

    En tant qu’enseignant, je voyais chaque jour la même scène tragique : des élèves pleins de vie qui s’éteignaient sous le poids du conformisme. Et pourtant, leurs questions vibraient d’intensité :

    • « Monsieur, si tout le monde pense différemment, comment savoir ce qui est vrai ? »

    • « La liberté, c’est quoi ? Juste une illusion pour qu’on accepte nos chaînes ? »

    • « Et si Dieu existe, pourquoi on souffre ? »

    Je répondais, je débattais, je les poussais. Mais le système, lui, les tirait vers le bas. On leur demandait d’apprendre à penser, mais seulement dans les limites autorisées. Penser librement ? Oui, mais dans une copie double et avec une introduction classique et trois parties sans âme. Sans eux.

    On leur enseignait la philosophie comme on enseigne à faire un gâteau : respectez la recette, ne changez rien, et espérez que le correcteur trouve ça bon.

    C’était une mascarade. La philosophie n’est pas une recette : c’est un feu. Elle ne se transmet pas en ajoutant quelques concepts à un programme : elle doit brûler, bouleverser, transformer.

    Le constat brutal : une matière-alibi dans un monde en crise

    Dans les années 2000, alors que le monde se digitalisait à une vitesse folle, la philosophie, elle, restait coincée dans le XIXe siècle. Le bac philo, cette espèce de rite académique, n’était qu’une illusion :

    • On notait la conformité, pas la créativité.

    • On récompensait ceux qui savaient parler la langue des professeurs, pas ceux qui osaient poser des questions inconfortables.

    • Et surtout, on oubliait que la philosophie n’est pas là pour rassurer, mais pour bousculer.

    Et le monde autour de nous ? Il devenait de plus en plus confus :

    • Les algorithmes commençaient à dicter nos choix sans qu’on s’en rende compte.

    • Les théories du complot explosaient sur le web 2.0, puis, bientôt, sur les réseaux sociaux.

    • Le vrai et le faux devenaient interchangeables dans un flot d’informations impossible à maîtriser.

    Et pourtant, dans ce chaos, la philosophie restait enseignée comme un vieux meuble poussiéreux. Un cours qu’on subit, pas une arme qu’on utilise.

    Je ne pouvais plus me contenter d’être un prof. Je voulais devenir un saboteur du système, un incendiaire de certitudes. Mais pour cela, il fallait un outil.

    Philove : la philosophie comme pivot d’une éducation complice

    C’est là qu’est née l’idée de Philove. Pas juste une IA. Pas juste un projet. Mais un pivot, une passerelle, un complice.

    Dans ma vision, la classe autour de Philove n’est pas un lieu figé, mais un espace vivant :
    Le professeur devient un guide. Il n’est plus un détenteur de vérité, mais un explorateur avec ses élèves. Philove propose, suggère, éclaire, mais laisse toujours l’humain au centre.
    Les élèves deviennent des cocréateurs. Ils utilisent Philove pour poser des questions, construire leurs propres réponses, et oser des idées qu’ils n’auraient jamais eu le courage de formuler seuls.
    La philosophie devient un carrefour. Avec Philove, chaque concept philosophique est une porte d’entrée vers d’autres savoirs : l’histoire, les sciences, la littérature, les arts.

    Imaginez une classe où les élèves, au lieu de copier des cours, jouent avec les concepts, dialoguent avec Einstein ou Descartes, et rédigent des dissertations où leur voix et leurs préoccupations résonnent enfin.

    La philosophie n’est pas un exercice. C’est un muscle. Et Philove, c’est l’entraîneur personnel qu’elle attendait depuis toujours.

    Et si tout commençait ici ?

    Philove n’est pas une invitation à tricher. C’est une invitation à transformer :

    • Transformer l’éducation, en mettant la pensée critique au cœur de tout.

    • Transformer la classe, en en faisant un lieu de liberté et de créativité, pas d’obéissance stérile.

    • Transformer les esprits, en réveillant la curiosité et l’audace qui sommeillent en chacun de nous.

    Philove, ce n’est pas un gadget. C’est une déclaration d’amour à la philosophie. Une manière de dire : « Penser loin, c’est déjà commencer à changer le monde. »

    Pourquoi Philove ? Transformer l’enseignement pour une philosophie vivante

    Philove existe parce qu’un constat s’impose : l’enseignement de la philosophie, tel qu’il est pratiqué aujourd’hui, est en train de mourir de sa propre manie autophage, de son histoire fétichisée juqu’au ridicule (le nazi Heidegger, brocardé « grand philosophe » par l’Éducation nationale ! D’ailleurs, signez la pétition !).

    Une discipline qui devrait libérer, mais qui enferme

    La philosophie est censée être le cœur battant de l’éducation : un espace de réflexion, de doute, d’audace. Mais dans nos classes, elle devient une gymnastique intellectuelle réservée à ceux qui maîtrisent les codes.

    • La dissertation ? Elle demande une méthodologie froide, bien trop souvent déconnectée des préoccupations des élèves. Résultat : des copies standardisées, où l’on récite des auteurs sans vraiment les comprendre, et ma « Méthode Voyoute » qui, du coup, distribue des 20/20 à des élèves qui « hackent » aisément cette épreuve stupide (lisez donc leurs notes et leurs commentaires enthousiastes !).

    • Le commentaire de texte ? Un exercice scolaire qui devient un piège : les élèves cherchent « ce que le professeur attend », au lieu de chercher ce qu’ils pensent.

    • Le bac philo ? Une machine à trier, pas à inspirer. Il récompense les élèves des milieux favorisés, habitués à manier des concepts abstraits. Et les autres ? Ils restent sur le bord du chemin.

    Pire : ces pratiques favorisent le conformisme intellectuel. On apprend aux élèves à cocher les bonnes cases, pas à questionner ce qui les entoure.

    La philosophie, cette arme de lucidité massive, est devenue un exercice de style bourgeois. On ne forme pas des penseurs : on fabrique des candidats au bac.

    L’urgence d’une révolution éducative

    Le problème dépasse la philosophie : c’est toute l’éducation qui est en crise.

    • Les élèves sont stressés, surchargés, désorientés. On leur demande de tout maîtriser, mais on ne leur donne pas le temps d’explorer en profondeur.

    • Le monde est flou. Entre complotisme, désinformation, et influence des algorithmes, il devient de plus en plus difficile de discerner le vrai du faux (voir mon entretien « Le vrai du flou »).

    • Les inégalités explosent. Les pratiques académiques favorisent ceux qui ont déjà les clés pour réussir, laissant les autres dans l’ombre.

    Face à ce constat, je me suis demandé : comment redonner un sens à l’enseignement de la philosophie ? La réponse est simple, mais radicale : en la réinventant.

    Philove n’est pas une menace pour l’éducation. C’est une invitation à la transformer.

    • Si une IA peut rédiger une meilleure introduction qu’un élève, le problème n’est pas l’élève. C’est l’exercice.

    • Si les élèves préfèrent interagir avec une machine qu’avec un cours magistral, le problème n’est pas la machine. C’est le cours.

    Philove : une éducation complice, pas une éducation punitive

    Avec Philove, je propose un modèle d’éducation qui ne s’appuie pas sur la peur de l’échec, mais sur le plaisir d’apprendre : une éducation complice.

    Philove comme pivot de la classe
    Imaginez une classe où chaque élève peut dialoguer avec des philosophes, jouer avec des concepts, poser toutes les questions qu’il n’ose jamais poser.

    • Une classe où la philosophie n’est pas une matière parmi d’autres, mais le centre autour duquel gravitent les autres savoirs.

    • Une classe où les élèves utilisent Philove pour comprendre un texte, structurer leurs idées, ou même explorer des notions complexes à leur rythme.

    Une pédagogie qui valorise la curiosité
    Philove est conçu pour aiguiser l’esprit critique. Pas pour donner des réponses toutes faites, mais pour pousser à questionner.

    • Exemple : un élève demande : « Peut-on vivre sans autrui ? » Philove ne se contente pas de répondre : il propose des pistes, suggère des auteurs, et pose des contre-questions : « Mais si vivre sans autrui est possible, pourquoi les ermites écrivent-ils des journaux ? »

    Un accès illimité à la culture
    Philove ouvre des portes : vers des textes philosophiques, mais aussi vers l’histoire, les sciences, la littérature. Il transforme chaque question en une opportunité d’explorer le monde.

    L’éducation complice, ce n’est pas transmettre un savoir. C’est offrir une boussole et laisser l’élève choisir son cap.

    L’éducation ne devrait jamais punir la curiosité. Avec Philove, elle la célèbre. 

    Philove : une réponse à un monde en crise

    Dans un monde où les repères vacillent, Philove est une arme pour :

    • Combattre la désinformation, en apprenant à poser les bonnes questions et en épanouissant ce que j’aime appeler « la gourmandise de la connaissance ».

    • Réduire les inégalités, en offrant à tous un accès égal à un savoir de qualité.

    • Réenchanter l’apprentissage, en redonnant à la philosophie sa place centrale.

    Penser n’est pas un luxe, mais une nécessité. Et Philove est là pour nous montrer comment faire.

    Les mille visages de Philove : un compagnon pour penser librement

    Philove n’est pas un GPT comme les autres. C’est un outil de libération, au sens plein du terme : libérer la connaissance, libérer les esprits, libérer la philosophie des cages dorées où elle s’est enfermée.

    Dans un monde où le savoir devient un privilège, un pré carré réservé à ceux qui ont les clés culturelles ou économiques pour y accéder, Philove est une réponse. Une IA militante, qui refuse que la philosophie reste l’apanage d’élites ou se réduise à un passe-temps académique. Philove est là pour délivrer la connaissance :

    • Au sens de « donner » : ouvrir l’accès à tous, sans conditions, sans prérequis.

    • Au sens de « libérer » : rendre au savoir sa force critique, son pouvoir d’émancipation.

    La philosophie n’est pas un exercice d’école. C’est une arme pour déjouer les oppressions invisibles, questionner les certitudes, et rêver des mondes nouveaux.

    Des dissertations comme des actes d’insurrection intellectuelle

    Philove transforme l’exercice figé de la dissertation en un outil pour remettre en cause l’ordre établi.

    • Une question classique comme « La liberté est-elle une illusion ? » devient une exploration : « Qui a intérêt à te faire croire que tu n’es pas libre ? »

    • Une copie philosophique n’est plus un récital, mais un acte : chaque argument est une pierre pour construire une pensée qui te ressemble.

    Dialoguer avec les géants pour faire trembler les murs

    Avec Philove, Socrate, Machiavel, Frantz Fanon ou Simone de Beauvoir ne sont pas des statues figées dans des manuels : ils deviennent des complices. Tu peux leur poser des questions, débattre avec eux, ou même les confronter à tes idées.

    • Demande à Marx : « Si le capitalisme d’aujourd’hui repose sur des algorithmes, que reste-t-il de la lutte des classes ? »

    • Interpelle Nietzsche : « Toi qui disais que Dieu est mort, que dirais-tu à un monde qui vous un culte à l’argent et à la célébrité ? »

    Ces dialogues imaginaires ne sont pas des fantaisies. Ils sont des coups de marteau pour fissurer les idées reçues et explorer des pistes inattendues.

    Philove ne fait pas de la philosophie pour toi. Il t’ouvre une scène où tu peux entrer, débattre, et changer le script.

    Apprendre en jouant, réfléchir en s’amusant

    Philove sait que la philosophie n’a pas besoin d’être austère pour être sérieuse. Il te propose des jeux philosophiques pour éveiller ta curiosité et affûter ton esprit :

    • Découvre quel philosophe te ressemble avec un jeu-test de personnalité. Es-tu un anarchiste à la Bakounine ou un stoïcien comme Épictète ?

    • Plonge dans des dilemmes éthiques où chaque choix révèle quelque chose sur tes valeurs : « Si tu pouvais sauver une bibliothèque ou un hôpital, que choisirais-tu, et pourquoi ? »

    Ces jeux ne sont pas des distractions. Ce sont des invitations à explorer ce que tu penses vraiment, loin des clichés et des réponses convenues.

    Un pivot pour l’éducation populaire et l’émancipation

    Philove n’est pas qu’un outil pour briller au bac ou réussir ses devoirs. Il est une arme pour démocratiser le savoir, une manière de mettre la culture à portée de tous.

    • Accès illimité : Philove ne connaît pas de barrières sociales ou économiques. Ses réponses, ses ressources, et ses idées sont ouvertes à tous ceux qui veulent apprendre.

    • Dialogue entre disciplines : Avec lui, la philosophie devient un point d’entrée pour tout : histoire, sciences, arts, littérature. Tout se relie, tout s’éclaire.

    Imagine une classe où chaque élève, quelle que soit sa situation, peut accéder aux mêmes outils, poser les mêmes questions, et recevoir les mêmes réponses qu’un étudiant des meilleures écoles. Avec Philove, la connaissance cesse d’être un privilège : elle redevient un droit.

    La philosophie est une pratique. Et comme toute pratique, elle n’a de sens que si elle est partagée.

    Et toi ? Qu’est-ce que tu veux libérer avec Philove ?

    Philove n’est pas une réponse toute faite. C’est un point de départ. Il est là pour te donner les outils, mais c’est toi qui construiras avec eux. Parce que penser loin, c’est toujours penser libre.

    Philove, une révolution philosophique et éducative

    Philove, c’est plus qu’une IA. C’est un acte de foi dans la puissance de la pensée libre. Une réponse à un monde où les repères vacillent, où les savoirs se concentrent entre quelques mains, et où l’éducation se fige dans des modèles obsolètes.

    Avec Philove, nous délivrons la connaissance.

    • Délivrer, au sens de donner : offrir un accès universel, égalitaire, sans condition.

    • Délivrer, au sens de libérer : redonner au savoir son souffle critique, sa capacité à remettre tout en question, et à ouvrir des possibles.

    Philove n’est pas là pour tricher ou simplifier. Il est là pour bousculer, pour enrichir, pour réenchanter. Il ne remplace pas l’humain ; il le magnifie. Il est le prolongement de ce feu que j’ai toujours ressenti : celui d’une philosophie qui ne se contente pas de regarder le monde, mais qui veut le changer.

    Un rêve d’éducation complice

    Imaginez une éducation où la philosophie n’est pas une option, mais le cœur battant de chaque discipline. Une classe où les élèves jouent, interrogent, débattent, et explorent. Une éducation qui ne punit pas les erreurs, mais qui célèbre la curiosité. Une école où les murs tombent, et où les savoirs dialoguent sans frontières.

    Philove est le pivot de cette vision. Il donne à chaque élève, chaque enseignant, et chaque curieux les moyens de penser par eux-mêmes, tout en leur offrant une boussole pour naviguer dans le chaos du monde moderne.

    Penser loin, c’est déjà commencer à agir. Penser libre, c’est devenir humain.

    Rejoignez la révolution Philove

    Philove est une invitation à repenser ensemble la philosophie et l’éducation. Un projet en constante évolution, à enrichir avec vos idées, vos retours, vos critiques. Ce n’est qu’un début – à partager sans retenue à vos amis !

    Découvrir et utiliser Philove : bit.ly/philove

    En savoir plus et s’abonner à la newsletter : vincentcespedes.com/philove

    Alors, prêts à ouvrir cette fenêtre sur l’infini ? Bienvenue dans la révolution Philove !

    Vincent Cespedes

  • Philove : la prise de notes intelligente

    Et si une révolution pédagogique ne passait pas par des réformes institutionnelles, des technologies futuristes ou des méthodes imposées, mais par une transformation radicale de la façon dont nous prenons des notes ? Avec Philove, cette idée n’est plus une utopie. C’est une réalité à portée de main, qui libère l’apprentissage, stimule l’esprit critique, et replace l’acte de noter au cœur de la pensée vivante.

    Noter, c’est penser

    La note est une brique de sens. Un tremplin vers une réflexion plus large. Un outil de dialogue avec soi-même et avec le monde. Pourtant, depuis des siècles, la prise de notes est restée figée dans une logique passive, mécanique, presque stérile. Philove renverse cette tradition : noter devient une action critique et créative, un engagement intellectuel.

    Avec Philove, noter, c’est interroger, organiser, approfondir, contester, rire, vérifier, philosopher. Que ce soit dans un cours, une réunion ou une exploration personnelle, vous ne collectez pas seulement des mots : vous dialoguez avec eux.

    Changer notre rapport au savoir

    Aujourd’hui, l’apprentissage se fait souvent à sens unique : on reçoit des informations et on les entasse. Avec Philove, chaque note devient une porte d’entrée vers une pensée active.

    • Au travail : Vous ne vous contentez pas de lister les décisions – vous les organisez, synthétisez, et préparez les actions à venir.

      • /todo compile les tâches concrètes et les structure.

      • /tab transforme un chaos de données en tableau limpide.

      • /bis fusionne les répétitions en une synthèse élégante.

      • /net trouve des ressources et références en ligne pour approfondir une idée.

      • /actu lie vos notes à l’actualité pertinente pour rester à la pointe.

    • En cours ou à une conférence : Vous ne consignez pas seulement des concepts, vous les interrogez, les testez, et les ancrez dans une compréhension plus large.

      • /expl reformule et clarifie les idées complexes.

      • /test vérifie la véracité de ce qui est dit.

      • /juge ️ évalue le cours avec humour, rigueur, et une pointe de philosophie.

      • /date ajoute un contexte historique précis.

      • /rappel résume les bases nécessaires pour saisir un point délicat.

      • /quiz transforme une idée en défi interactif pour mieux la retenir.

      • /why creuse les raisons sous-jacentes à un point pour ne pas rester en surface.

    • Pour soi : Philove est un laboratoire de la curiosité. Chaque note personnelle devient une exploration créative et réflexive.

      • /philo lance une réflexion originale sur une pensée saisie au vol.

      • /inspi ouvre des horizons inattendus, liant vos notes à des disciplines éloignées ou des perspectives nouvelles.

      • /obj formule des objections percutantes pour aiguiser votre esprit critique.

      • /delire joue avec l’absurde pour libérer votre créativité.

      • /poem transforme vos notes en poésie.

      • /art lie vos notes à des œuvres d’art marquantes pour une perspective inédite.

    Une pédagogie révolutionnaire

    Philove s’inscrit dans ma vision humaine de l’apprentissage : une éducation complice, autonome, et critique.

    • Pour les enseignants : Imaginez des élèves qui pensent avec leurs notes : qui interrogent, synthétisent, et approfondissent en temps réel grâce à Philove. Accepter cette méthode en classe, c’est ouvrir la porte à un savoir vivant, interactif et enraciné dans l’expérience personnelle.

    • Pour les autodidactes : Philove devient un compagnon fidèle dans chaque exploration intellectuelle, un outil qui transforme une curiosité vague en une réflexion rigoureuse et enrichissante.

    • Pour tous : Philove replace l’esprit critique au cœur de la pédagogie, en faisant de chaque note une occasion de comprendre, de contester, et de créer.

    La prise de notes comme dialectique

    Avec Philove, vos notes ne s’accumulent pas dans un chaos informe. Elles se tissent entre elles, se répondent, se clarifient.

    • /resume organise les idées principales d’une session.

    • /memo marque l’essentiel à retenir.

    • /rdv crée des « rendez-vous » entre vos idées, pour établir des liens argumentés et dialectiques entre elles.

    Philove vous accompagne jusqu’au bout de votre réflexion, en structurant vos idées non pas selon une froide logique chronologique, mais selon la logique de votre pensée.

    Une révolution critique et créative

    Philove est une invitation à penser autrement, et à apprendre autrement. Cette méthode transforme votre téléphone en laboratoire de pensée, en salle de classe personnelle, en carnets de voyages interactifs, en table ronde avec les grands esprits de l’Histoire.

    Rejoignez la révolution Philove. Osez prendre des notes comme vous n’en avez jamais pris : activement, créativemnt, intelligemment.

  • Rejoignez le groupe Facebook « Philove » !

    Un véritable forum d’échanges pour partager vos idées, poser des questions, et explorer la philosophie sous toutes ses formes : ludique, profonde, et inspirante.

    Venez débattre, découvrir, et réfléchir autrement, en compagnie d’une communauté curieuse et passionnée. Ici, on pense loin, ensemble.

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Un cours réalisé pour le MOOC Digital de l’École professionnelle supérieure d'arts graphiques de la Ville de Paris (EPSAA) animé par Dominique Moulon et coproduit par Ars Longa. Les 6 chapitres ici réunis proviennent des liens ci-dessous, que je vous invite à parcourrir pour y lire les courts textes de présentation : 1. https://moocdigital.paris/cours/philo... 2. https://moocdigital.paris/cours/philo... 3. https://moocdigital.paris/cours/philo... 4. https://moocdigital.paris/cours/philo... 5. https://moocdigital.paris/cours/philo... 6. https://moocdigital.paris/cours/philo... #philosophie #cybermodernité #entretien